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  • Economiesuisse écarte les décideurs romands de sa direction et suscite des inquiétudes en Suisse romande

    Economiesuisse écarte les décideurs romands de sa direction et suscite des inquiétudes en Suisse romande

    Réduction de la direction et absence de représentation romande

    Un réaménagement initialement présenté comme une réorientation stratégique a rapidement été perçu comme une mise à l’écart de la Suisse romande. Selon l’AGEFI, Economiesuisse a ramené son comité directeur de dix à cinq membres et n’a laissé aucune voix romande dans cette instance.

    Faits et détails du remaniement

    Dans les détails, Cristina Gaggini, figure romande du lobby, ne siège plus au conseil et est désormais placée sous la responsabilité du chef de la communication. Le seul vice-président romand, Philippe Hebeisen, quitte également son poste.

    Cette évolution renforce l’impression que la Suisse latine est progressivement écartée, alors que la Suisse romande accueille Nestlé, Richemont, Givaudan et Logitech, quatre entreprises inscrites au SMI, et que l’Arc lémanique figure parmi les régions économiques les plus dynamiques du pays.

    Réactions et contexte régional

    Par ailleurs, cinq dirigeants basés à Genève ont été mis en avant récemment pour leur rôle dans l’apaisement du conflit douanier avec Donald Trump. Parmi eux figurent les responsables de MSC, Rolex, Richemont et Mercuria, tous des acteurs mondiaux dont le siège se situe au bord du lac.

    Cette mise à l’écart est survenue dans un contexte où la Romandie demeure un pôle économique important pour le pays.

    Réactions et perspectives des acteurs économiques

    Le lobby affirme tenter de rassurer et souligne l’importance de la Suisse romande pour l’économie nationale. Il promet également de désigner bientôt un nouveau vice-président romand, sans pour l’instant annoncer de plan pour réintégrer la région dans la direction.

    Les Chambres de commerce romandes ont réagi en envoyant une lettre officielle exprimant leur incompréhension et leurs craintes. Reste à savoir si ces voix seront entendues à Zurich.

  • Economiesuisse écarte les Romands de sa direction: inquiétudes en Suisse romande et réactions des Chambres de commerce

    Economiesuisse écarte les Romands de sa direction: inquiétudes en Suisse romande et réactions des Chambres de commerce

    Contexte et impact du remaniement

    Le remaniement annoncé dans Economiesuisse était présenté comme un lifting stratégique, mais les conséquences perçues en Suisse romande ont été décrites comme une disparition de la représentation régionale. Selon l’AGEFI, la direction a été réduite de dix à cinq membres et la représentation romande a été omise.

    Éléments clefs du changement

    Parmi les conséquences visibles, Cristina Gaggini n’occupe plus de siège dans la direction et est placée sous la responsabilité du chef de la communication. Le seul vice-président romand, Philippe Hebeisen, quitte également son poste. L’ensemble de ces décisions alimente l’impression que la Suisse romande est écartée.

    À Genève, la région demeure intégrée dans un paysage économique fort, avec Nestlé, Richemont, Givaudan et Logitech comme acteurs majeurs inscrits au SMI, et l’Arc lémanique figurant parmi les pôles économiques les plus dynamiques du pays.

    Remous internationaux et poids genevois

    Le contexte est marqué par une focalisation sur des personnalités de Genève: cinq dirigeants basés à Genève ont récemment été mis en lumière pour leur rôle dans l’apaisement du conflit douanier avec Donald Trump; parmi eux figurent les patrons de MSC, Rolex, Richemont et Mercuria, des acteurs mondiaux dont le siège est proche du lac.

    Réponses officielles et perspectives d’avenir

    Du côté d’Economiesuisse, l’organisation affirme être consciente de l’importance de la Suisse romande pour l’économie nationale et promet de désigner « bientôt » un nouveau vice-président romand, sans annoncer de plan pour réintégrer formellement la région dans la direction.

    Réactions des acteurs romands

    Les Chambres de commerce romandes ont réagi en envoyant une lettre ferme à la direction pour exprimer leur incompréhension et leurs inquiétudes. Reste à savoir si ces voix seront entendues à Zurich.

    En résumé, ce repositionnement du conseil d’administration d’Economiesuisse alimente les débats sur la représentativité politique et économique de la Suisse romande, dans un contexte où la région est active et marquée par des enseignes internationales et des pôles d’innovation.

  • Economiesuisse réorganise sa direction et exclut la représentation romande, des inquiétudes émergent

    Economiesuisse réorganise sa direction et exclut la représentation romande, des inquiétudes émergent

    Réorganisation contestée de la direction d’Economiesuisse

    Selon l’AGEFI, Economiesuisse a réduit sa direction de dix à cinq membres et a effacé toute représentation de la Suisse romande, un choix qui ne passe pas inaperçu dans le paysage économique.

    La réforme est présentée par le lobby comme un lifting stratégique, mais elle est perçue par certains acteurs comme une diminution de la voix romande au sein de l’organisation.

    Faits confirmés et postes concernés

    Cristina Gaggini, figure romande du lobby, ne siège plus dans la direction et se voit placée sous la responsabilité du chef de la communication. Par ailleurs, le seul vice-président romand, Philippe Hebeisen, quitte son poste.

    Ces évolutions alimentent l’impression que la Suisse romande est mise à l’écart, d’autant plus que la région accueille des entreprises majeures et des pôles économiques importants.

    Contexte régional et acteurs économiques

    Genève est présentée comme un pôle économique actif, avec des groupes tels que Nestlé, Richemont, Givaudan et Logitech figurant au SMI. L’Arc lémanique est décrit comme l’une des régions économiques les plus dynamiques du pays.

    Le récit évoque également que Genève rayonne sur la scène internationale, notamment à Washington, et que cinq dirigeants basés à Genève ont été mis en avant pour leur rôle dans l’apaisement du conflit douanier avec Donald Trump. Parmi eux figuraient des responsables de MSC, Rolex, Richemont et Mercuria — autant de poids lourds dont le siège est au bord du lac.

    Réactions et positions de l’organisation

    Face à ces observations, Economiesuisse tente de rassurer en affirmant reconnaître l’importance de la Suisse romande pour l’économie nationale et en promettant de désigner « bientôt » un nouveau vice-président romand. Toutefois, aucun plan concret n’est évoqué pour réintégrer formellement la région dans la direction.

    Réactions des Chambres de commerce romandes

    Les Chambres de commerce romandes ont adressé un courrier ferme à la direction, exprimant leur incompréhension et leurs craintes. Reste à savoir si ces voix seront entendues à Zurich.

  • Economiesuisse réduit sa direction et exclut la représentation romande, suscitant des inquiétudes en Suisse romande

    Economiesuisse réduit sa direction et exclut la représentation romande, suscitant des inquiétudes en Suisse romande

    Changements à la direction et implications pour la Suisse romande

    Un réaménagement stratégique annoncé par Economiesuisse a conduit à une réduction de sa direction, passant de dix à cinq membres, et à l’absence de représentation romande au sein de l’organe dirigeant, selon l’AGEFI.

    Modification des postes et absence de représentation romande

    Selon ces informations, Cristina Gaggini, figure romande du lobby, ne siège plus dans la direction et relève désormais du chef de la communication. Par ailleurs, le seul vice-président romand, Philippe Hebeisen, a quitté son poste.

    Concentration géographique et dynamique économique

    Cette réorganisation intervient alors que la Suisse romande accueille des acteurs majeurs tels que Nestlé, Richemont, Givaudan et Logitech et que l’Arc lémanique figure parmi les régions économiques les plus dynamiques du pays, avec une présence sur le SMI.

    Indicateurs internationaux et figures genevoises

    Genève est également présentée comme rayonnant sur la scène internationale, notamment à Washington. Cinq dirigeants basés à Genève ont été mis en avant pour leur rôle dans l’apaisement du conflit douanier avec Donald Trump, parmi eux les patrons de MSC, Rolex, Richemont et Mercuria, tous des poids lourds mondiaux.

    Réassurance du lobby et avenir des instances

    Face à ces évolutions, Economiesuisse assure être consciente de l’importance de la Suisse romande pour l’économie nationale et promet de nommer bientôt un nouveau vice-président romand, sans toutefois détailler de plan pour réintégrer la région dans la direction.

    Réactions des Chambres de commerce romandes

    Les Chambres de commerce romandes ont réagi en adressant une lettre ferme à la direction pour exprimer leur incompréhension et leurs craintes. Le dénouement reste incertain quant à l’influence de ces voix sur Zurich.

  • Masters de Turin : Sinner reste imperturbable et atteint les demi-finales

    Masters de Turin : Sinner reste imperturbable et atteint les demi-finales

    Masters de Turin : Sinner reste imperturbable et rejoint les demi-finales

    Le No 2 mondial est présenté comme l’exemple même de sang-froid face à la pression. Lors du Round Robin du Masters ATP de Turin, Jannik Sinner a livré une prestation sans faille qui lui assure une place dans le dernier carré.

    Vendredi, il a pris le dessus sur l’Américain Ben Shelton (ATP 5) 6-3 7-6 (7/3), bouclant ainsi une nouvelle victoire dans le tournoi.

    Plus tard dans l’après-midi, l’Italien a battu Alexander Zverev (ATP 3) 6-4 6-3. Sur les balles de break, il a écarté sept occasions sans céder, en ne jouant que huit échanges: trois aces, trois services gagnants et un échange de trois coups.

    Gestion des balles de break et démonstration de maîtrise

    En conférence de presse d’après-match, Sinner a déclaré: ‘Si vous avez sept balles de break dans un match et qu’il passe sept premières balles, vous ne pouvez pas jouer l’échange une seule fois… Cela devient difficile.’

    Ce tirage de balles de break maîtrisé et cette victoire qui le propulse en demi-finales illustrent la constance affichée par le No 2 mondial au Masters de Turin.

  • Insaisissables 3 : retour des Cavaliers et braquage international entre Anvers, Budapest et Abu Dhabi

    Insaisissables 3 : retour des Cavaliers et braquage international entre Anvers, Budapest et Abu Dhabi

    Un retour attendu des Cavaliers après près d’une décennie

    En 2013, Insaisissables avait captivé le public en mêlant action, humour, magie et braquage. Pour sa suite, sortie en 2016, l’intrigue s’était déplacée de Las Vegas et de la Nouvelle-Orléans jusqu’à Macao, autour d’une affaire complexe de puce électronique.

    Il a ensuite fallu près de dix ans pour que les quatre Cavaliers refassent leur apparition, comme par magie. C’est peut-être là le plus grand mystère de ce troisième volet, qui n’en propose pas beaucoup d’autres.

    Entre Anvers, Budapest et Abu Dhabi

    Sorti de sa retraite, le cerveau du groupe, Daniel Atlas (Jesse Eisenberg), fait appel à trois jeunes illusionnistes pour dérober le diamant le plus précieux du monde. Le bijou est entre les mains de Veronika Vanderberg (Rosamund Pike), directrice d’une organisation criminelle sud-africaine. Le récit se déploie entre Anvers, Budapest et Abu Dhabi, et l’équipe est complétée par les anciens complices d’Atlas: le pickpocket Jack Wilder (Dave Franco), le mentaliste Merritt McKinney (Woody Harrelson) et l’escapologiste Henley Reeves (Isla Fisher).

    Faire du neuf avec du vieux

    Le calcul est simple : associer quatre figures établies à un trio de nouveaux venus dans le but d’attirer un public plus large, tout en introduisant une thématique contemporaine sur la spoliation des populations sud-africaines par les colons blancs, incarnée par le personnage de Vanderberg, et la restitution des richesses autochtones à leurs propriétaires légitimes.

    Une démonstration de magie qui se cherche

    Sur le fond, ce troisième volet prolonge la logique des Cavaliers, une forme moderne de Robin des Bois qui dénonce publiquement les puissants corrompus. En revanche, sur la forme, le rythme semble s’essouffler.

    UN TOUR DE MAGIE ÉVENTÉ

    En recherchant sans cesse la surenchère d’effets et l’efficacité, Insaisissables 3 ne renouvelle pas son cahier des charges. On a parfois l’impression d’assister à un long tour de passe-passe emprunté à Mission: Impossible plutôt qu’à une illusion originale. Certains coups d’éclat utilisent des illusions d’optique évoquant Escher ou des fausses perspectives qui jouent avec la taille des personnages et leur position dans l’espace.

    Pourtant, certaines séquences fonctionnent, mais la répétition du même tour, avec une mise en place attendue et une chute prévisible, peut lasser. Comme on dit, les meilleures blagues et les meilleurs tours restent souvent les plus courts.

    Note: 2/5

    Rafael Wolf/olhor

    Insaisissables 3, réalisé par Ruben Fleischer, réunit Jesse Eisenberg, Woody Harrelson, Dave Franco, Isla Fisher et Rosamund Pike. Sortie dans les salles romandes à partir du 12 novembre 2025.

  • Le réarmement du Japon en débat : entre héritage pacifiste et ambitions défensives

    Le réarmement du Japon en débat : entre héritage pacifiste et ambitions défensives

    Une promesse budgétaire qui bouscule les équilibres

    A peine nommée, la figure très conservatrice Sanae Takaichi a promis une hausse substantielle du budget de la défense japonaise, visant 2 % du PIB dès l’an prochain, deux ans plus tôt que l’objectif fixé par son prédécesseur.

    Renforcement des capacités et cadre conceptuel

    L’archipel intensifie son dispositif sécuritaire, notamment sur les fronts des drones et des missiles longue portée destinés aux Forces d’autodéfense.

    Une terminologie qui compte

    Le choix des mots — « forces d’autodéfense » plutôt que « armée » — est souligné comme une nuance importante par l’historienne Constance Sereni, de l’université de Genève.

    Le cadre historique et les ambitions révisionnistes

    Historiquement, la population japonaise s’est illustrée par un pacifisme profond depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. L’article 9 de la Constitution est considéré comme la base du « renoncement à la guerre », et l’idée de le réviser demeure source de débats. Selon Sereni, une révision viserait probablement à l’élargir plutôt qu’à le transformer en profondeur, mais l’évolution reste difficile.

    Influence de l’ancien Premier ministre et position actuelle

    Shinzo Abe, assassiné en 2022, était le mentor de Takaichi. Comme lui, elle envisagerait une révision partielle de l’article pacifiste, avec une préférence pour un élargissement plutôt que pour une mutation radicale. L’historienne précise que l’issue demeure incertaine.

    Défense collective et aides aux alliés

    La Première ministre défend une logique de « défense collective » permettant d’aider des partenaires au nom de l’autodéfense. Dans l’état actuel, certaines situations n’autoriseraient pas le Japon à aider les États‑Unis en cas d’attaque.

    Rencontres et signalements diplomatiques

    Depuis sa nomination, Sanae Takaichi a multiplié les contacts internationaux, notamment lors de la visite de Donald Trump à Tokyo fin octobre. Le chef de l’État américain aurait offert une balle de golf plaquée or et du bœuf américain au dîner. Elle aurait en outre évoqué l’éventualité de le recommander pour le Prix Nobel de la paix. Si ces gestes ont été salués par certains, d’autres ont critiqué en Diète une apparente conciliation.

    Le rôle des États‑Unis et l’alliance

    Le Japon et les États‑Unis reposent sur un traité de sécurité signé en 1960. Le territoire accueille l’un des plus importants déploiements étrangers américains, avec environ 60 000 militaires répartis sur plusieurs bases, la majorité se situant à Okinawa, à environ 600 kilomètres de Taïwan.

    Un soutien actif à l’effort nippon

    Selon l’historienne, les forces d’autodéfense japonaise figurent parmi les armées les plus coûteuses du monde et constituent l’un des principaux clients des États‑Unis, ce qui nourrit, selon elle, l’intérêt mutuel à soutenir le renforcement des dépenses de défense japonaises.

    Propos recueillis par Laurent Huguenin-Elie, avec les contributions de Mélanie Ohayon et Elsa Anghinolfi.

  • En Suisse romande, le cappuccino préparé avec du lait végétal peut afficher jusqu’à 60 centimes de supplément

    En Suisse romande, le cappuccino préparé avec du lait végétal peut afficher jusqu’à 60 centimes de supplément

    Boissons chaudes et lait végétal en Suisse romande : des suppléments variables et expliqués

    Une enquête menée par l’émission On en parle auprès de douze établissements en Suisse romande met en lumière des pratiques hétérogènes concernant les boissons à base de lait végétal. L’équipe a interrogé neuf bars ou cafés et trois grandes chaînes de restauration, et constate que l’offre de laits alternatifs est présente dans l’ensemble des cantons romands.

    Dans la moitié des établissements interrogés, le cappuccino préparé avec un lait végétal se voit appliquer un supplément fixe de 0,50 CHF à 0,60 CHF, quel que soit le type de lait utilisé.

    Des raisons économiques et opérationnelles invoquées par les responsables

    Le patron du The Barista Lab à Genève indique que les laits végétaux utilisés proviennent de marques reconnues et présentent des coûts supérieurs à ceux du lait de vache. Le supplément est en partie destiné à compenser ce surcoût. À titre illustratif, le lait de vache coûte environ 1,50 CHF par litre, tandis qu’une alternative végétale excède les 3 CHF par litre, soit environ le double.

    La patronne de Taillens, boulangerie et tea-room à Montana, rappelle également que le temps de préparation peut être plus long avec les laits végétaux. Pour un cappuccino au lait d’amande, le café est préparé séparément et le lait d’amande est chauffé à la vapeur, avec une vigilance particulière pour éviter les débordements, ce qui n’est pas nécessaire avec le lait animal.

    Des établissements qui n’appliquent pas de supplément

    Au Toucan Blö de Delémont, les boissons à base de laits végétaux affichent le même prix que leurs équivalents à lait. La directrice Camille Ory explique que le prix du lait biologique est quasiment identique à celui des boissons végétales, et que l’on considère normal que le client puisse accéder à une alternative au même tarif.

    La fédération GastroSuisse n’impose pas de fourchettes tarifaires pour les boissons chaudes à base de lait végétal, soulignant l’importance de communiquer les prix de manière claire et transparente à la clientèle.

    Pour mémoire, ce sujet a été évoqué dans l’émission A bon entendeur sous le titre Boissons végétales : ceci n’est pas une bouteille de lait, diffusée le 7 mai 2024. L’adaptation web a été réalisée par Myriam Semaani.

  • Collision à Saignelégier : deux blessés dans un accident de la route

    Collision à Saignelégier : deux blessés dans un accident de la route

    Collision à Saignelégier : deux blessés dans un accident de la route

    Un accident s’est produit vendredi vers 23h00 sur la route principale reliant les Pommerats à Saignelégier, au niveau du lieu-dit Les Vieux Prés du Culat, selon la police cantonale jurassienne.

    Déroulement et trajectoire

    Selon les éléments rapportés, un automobiliste circulant en direction de Saignelégier s’est déporté sur la gauche à la sortie d’une courbe et a heurté latéralement deux voitures venant en sens inverse.

    Blessures et prise en charge

    Les deux conducteurs des véhicules descendant vers Goumois ont été blessés dans l’accident et pris en charge par les secours dépêchés rapidement sur place. Ils ont été transportés à l’hôpital du Jura à Delémont par deux ambulances.

    Répercussions sur la circulation

    Le trafic a été fortement perturbé pendant environ deux heures, le temps pour les autorités de sécuriser la zone et d’évacuer les véhicules accidentés.

  • Stockholm : un bus renverse des passants, plusieurs morts et blessés, enquête pour homicide involontaire

    Stockholm : un bus renverse des passants, plusieurs morts et blessés, enquête pour homicide involontaire

    Événement et premiers éléments factuels

    Un incident impliquant un bus a renversé des piétons à Stockholm, faisant plusieurs morts et blessés. La cause n’est pas clairement déterminée à ce stade.

    Selon une porte-parole de la police, les enquêteurs devront établir ce qui s’est produit. Il est prématuré de tirer des conclusions et il convient d’éviter toute spéculation.

    D’après des informations relayées par des médias suédois, la piste retenue évoque plutôt un accident.

    Évolutions sur place et procédures

    L’artère concernée par l’incident a été rouverte en début de soirée. Le chauffeur du bus a été interpellé et une enquête pour homicide involontaire est ouverte, conformément à la procédure habituelle.

    Réactions et témoignages

    Le Premier ministre, Ulf Kristersson, a adressé ses pensées aux personnes touchées et à leurs proches dans un message publié sur X.

    Témoins sur les lieux

    Une témoin, Michelle Mac Key, a expliqué au quotidien Expressen qu’elle descendait d’un autre bus au moment de l’incident. Elle a décrit avoir vu le bus à impériale faucher une file d’attente près de l’arrêt.

    Elle a indiqué qu’elle avait d’abord cru qu’il s’agissait d’un exercice et que la scène paraissait irréelle et chaotique.