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  • Eau rouge dans le Jura : la surprenante coloration de la rivière de la Suze

    Une coloration inhabituelle de la rivière la Suze observée dans le Jura

    Ce jeudi, un phénomène visuel a suscité la surprise des promeneurs et riverains du Vallon de Saint-Imier. Plusieurs personnes ont constaté que l’eau de la rivière la Suze présentait une teinte rouge intense, ce qui a initialement provoqué des réactions d’étonnement, notamment chez une passante qui a dû se frotter plusieurs fois les yeux en voyant cette coloration inhabituelle.

    Origine d’une coloration temporaire et contrôlée

    Selon la plateforme jurassienne «aJour», ce changement de couleur a été volontairement induit dans le cadre d’une étude menée par la Municipalité de Saint-Imier en collaboration avec le Syndicat pour l’alimentation en eau potable des Franches-Montagnes. Un colorant a été injecté dans la rivière dans la zone des Pontins, dans le but d’étudier son parcours et son impact. Les autorités précisent que cette coloration restera visible pendant plusieurs heures, voire quelques jours, en raison de la nature du procédé.

    Pratiques courantes d’études hydrologiques et usages politiques du colorant

    Les injections de colorants dans les cours d’eau sont une pratique répandue en Suisse pour analyser les flux hydrologiques. Cependant, il arrive parfois que ces manipulations soient utilisées à des fins plus politiques ou symboliques. Par exemple, en 2023, l’Aar a été colorée en vert fluo par des militants engagés dans la cause environnementale, illustrant ainsi les différentes utilisations de cette technique dans le cadre de projets ou de revendications.

  • Bad Bunny évite les concerts aux États-Unis en raison des politiques d’immigration

    Bad Bunny évite les concerts aux États-Unis en raison des politiques d’immigration

    Le refus de Bad Bunny de se produire aux États-Unis en raison de risques liés à l’immigration

    Le chanteur porto-ricain Bad Bunny a décidé de ne pas inclure les États-Unis dans sa prochaine tournée mondiale, invoquant principalement des préoccupations liées à la présence potentielle des forces de l’ordre de l’immigration lors de ses spectacles.

    Des craintes concernant l’intervention des forces de l’ordre lors des concerts

    Dans un entretien publié mercredi par le magazine britannique i-D, l’artiste de 31 ans a expliqué qu’il y avait plusieurs raisons derrière cette décision. Parmi elles, la possibilité de voir la police de l’immigration (ICE) intervenir devant ses salles de spectacles a été évoquée comme un facteur déterminant. Il a indiqué que cette problématique avait été largement discutée au sein de son équipe et leur avait causé beaucoup d’inquiétude.

    Une résidence réussie à Porto Rico et une tournée mondiale planifiée

    Ce contexte intervient alors que l’artiste achève une résidence de 30 concerts à Porto Rico, qui a contribué à dynamiser le tourisme local, notamment sur l’île natale du chanteur. Pour Bad Bunny, ces événements illustrent qu’il reste accessible à ses fans de la région et du reste du monde. Il a souligné que les spectateurs américains ou américains d’origine portoricaine pouvaient venir assister à ses concerts ailleurs ou se rendre dans d’autres pays, puisque sa prochaine tournée s’étendra de novembre 2025 à juillet 2026 en Amérique latine, en Australie et en Europe.

    Contexte politique et ses répercussions sur l’immigration

    La décision de l’artiste intervient dans un climat de politique d’immigration stricte aux États-Unis, caractérisée notamment par une série d’arrestations massives menées par l’administration de Donald Trump, qui a lancé une politique d’expulsion de migrants en situation irrégulière. Selon une analyse de l’AFP, le nombre de personnes détenues par la police de l’immigration a atteint un record de 60’254 en juin, contre 40’500 en janvier, avant la réélection de Trump. Par ailleurs, à Porto Rico, la même agence de l’immigration a arrêté environ 500 immigrés, principalement dominicains, lors des quatre mois suivant le retour du précédent président américain au pouvoir, selon Rebecca Gonzalez-Ramos, responsable locale de l’organisme, interviewée par NPR. Bad Bunny lui-même a partagé une vidéo en juin sur ses réseaux sociaux, montrant une intervention de la police sur l’île, témoignant de son engagement sur cette problématique.

  • Retrouvée l’arme du tir meurtrier de Charlie Kirk, l’auteur toujours en fuite

    Retrouvée l’arme du tir meurtrier de Charlie Kirk, l’auteur toujours en fuite

    Faits et contexte de l’attaque contre Charlie Kirk

    Charlie Kirk, influenceur et podcasteur conservateur âgé de 31 ans, connu pour son engagement en faveur des valeurs pro-Trump, a été mortellement blessé lors d’une réunion publique dans une université de l’Utah, dans l’Ouest des États-Unis. La police poursuit ses investigations pour identifier le ou la responsable, dont les motivations restent à ce stade inconnues. Une photographie d’un suspect a été diffusée, montrant un homme portant une casquette et des lunettes de soleil noires.

    L’arme du crime et la fuite du suspect

    Le FBI a annoncé que l’arme, un fusil de calibre puissant, a été retrouvée dans une zone boisée située à proximité, là où le tireur aurait pris la fuite. Des analyses iniziales portent sur les empreintes digitales et celles de pieds de l’individu présumé. Selon un responsable des forces de l’ordre, des images vidéo de bonne qualité permettent d’avoir reconstitué les déplacements du suspect, notamment son arrivée sur le campus. Le profil de celui-ci serait probablement celui d’une personne jeune.

    Les circonstances de la fusillade

    Les enquêteurs estiment que la balle qui a touché Charlie Kirk, au niveau du cou, a été tirée depuis le toit d’un bâtiment universitaire par un homme habillé en noir. La nature de l’acte paraîtrait ciblée et intentionnelle. Le gouverneur de l’Utah, Spencer Cox, a souligné lors d’une conférence de presse qu’il s’agissait d’un acte d’assassinat politique, précisant la gravité de la situation.

    Les premières actions policières et la suite de l’enquête

    Avant la classification de l’événement comme un assassinat, deux personnes ont été appréhendées puis relâchées. La police poursuit ses investigations pour faire toute la lumière sur cette affaire, a indiqué Kash Patel, chef du FBI.

    Réactions politiques et discours publics autour de l’incident

    Le positionnement de Donald Trump

    Donald Trump a directement lié cet incident à la rhétorique de la « gauche radicale », dénonçant ce qu’il qualifie de discours haineux qui pourraient avoir alimenté cette violence. L’ancien président a déclaré que Charlie Kirk était devenu un « martyr de la vérité et de la liberté », accusant la gauche de comparer injustement des figures conservatrices à des nazis ou des criminels de masse. Dans une vidéo diffusée sur Truth Social, il a affirmé que la responsabilité de cette attaque revient à ceux qui nourrissent la haine politique, promettant que son administration identifierait tous ceux impliqués dans cette violence.

    En signe de commémoration, Donald Trump a ordonné la mise en berne nationale des drapeaux et envisage de décerner à Kirk la Médaille présidentielle de la Liberté, la plus haute distinction civile aux États-Unis, en reconnaissance de son engagement.

    Les réactions de figures de la droite

    Avant même que le tireur ne soit formellement identifié, plusieurs personnalités de la droite américaine ont dénoncé, sur les réseaux sociaux, ce qu’elles qualifient de « répression de la gauche » contre les conservateurs. Pour le secrétaire général adjoint de la Maison Blanche, Stephen Miller, l’incident illustre une épreuve plus large visant le mouvement conservateur. Fidèle à l’idéologie Trump, Laura Loomer a appelé à une « répression totale de la gauche » en utilisant la puissance légale pour fermer et poursuivre les organisations considérées comme responsables de violences diverses.

    De son côté, Elon Musk, milliardaire et soutien de longue date de Donald Trump, a publié sur X (ex-Twitter) que « la gauche est le parti du meurtre », renforçant ainsi la tonalité véhémente adoptée par certains acteurs politiques conservateurs.

    Réactions prudentes et messages de condoléances du camp démocrate

    Les représentants du Parti démocrate ont adopté un ton plus réservé, insistant sur la nécessité d’attendre de connaitre les motivations exactes derrière cette violence. Barack Obama a souligné que de telles agressions ne doivent pas avoir leur place dans la démocratie américaine. Kamala Harris et Joe Biden ont appelé à mettre fin à ce type de violence, tout en évoquant la responsabilité de certains discours politiques dans la montée des tensions.

    Le gouverneur de l’Illinois, J.B. Pritzker, a quant à lui formulé une critique directe à l’encontre de Donald Trump, lui reprochant, selon lui, d’avoir encouragé un climat de violence à travers une rhétorique incitative.

    Analyse et perspectives

    Le politologue Romuald Sciora a été invité à analyser cette affaire dans le cadre du forum. Il souligne l’importance de comprendre si cet acte peut être qualifié de politique, dans un contexte marqué par une polarisation accentuée et un discours de plus en plus agressif.

  • Aleph Farms, spécialiste de la viande cultivée en laboratoire, s’implante à Zurich : partenariat avec les acteurs suisses de l’alimentation et de la biotechnologie

    Aleph Farms, spécialiste de la viande cultivée en laboratoire, s’implante à Zurich : partenariat avec les acteurs suisses de l’alimentation et de la biotechnologie

    Une expansion stratégique dans le canton de Zurich

    Le fabricant israélien de viande en laboratoire, Aleph Farms, a annoncé jeudi la signature d’une déclaration d’intention avec la société suisse The Cultured Hub. Cette dernière a été créée par un consortium d’entreprises locales spécialisées dans l’alimentation et la biotechnologie, telles que Migros, Givaudan et Bühler.

    Une implication locale saluée par les autorités

    Face aux médias présents à Kemptthal, la ministre zurichoise de l’Économie, Carmen Walker-Späh (PLR), a exprimé son enthousiasme concernant cette implantation. Elle a indiqué : « Je me réjouis des avancées potentielles dans les technologies alimentaires que cette initiative pourrait favoriser au sein du canton. » Elle a également exprimé sa confiance dans « l’avenir du secteur ».

    Objectifs de l’accord et développement futur

    Une étape clé pour la production locale

    Selon un communiqué du département zurichois de l’Économie, cette collaboration vise à établir une infrastructure permettant la commercialisation de produits alimentaires issus de cultures cellulaires. La signature de cet accord est perçue comme une étape significative dans l’expansion internationale d’Aleph Farms, tout en créant une base pour une production locale haut de gamme.

    Perspectives d’implantation à long terme

    Ce partenariat offre un cadre stable pour la production dans le canton, avec pour ambition une future extension vers d’autres marchés en Europe. Il pourrait ainsi favoriser le développement d’un écosystème innovant autour des aliments issus de la culture cellulaire.

    Une démarche réglementaire en cours

    Aleph Farms, qui fabrique des steaks à partir de cellules de bœuf cultivées en laboratoire, a déposé une demande d’autorisation en Suisse en juillet 2023. Celle-ci a été déposée auprès de l’Office fédéral de la sécurité alimentaire, avec le soutien de Migros Industrie. La société a déjà obtenu une telle autorisation en Israël la même année, marquant une première mondiale dans ce domaine.

    Fondée en 2017, Aleph Farms a dévoilé son premier Steak cultivé en 2018, illustrant une avancée majeure dans la production de viande alternative. La société continue ainsi de s’inscrire dans une dynamique d’innovation et de développement à l’échelle internationale.

  • Condamnation à perpétuité pour l’auteur syrien de l’attaque au couteau à Solingen

    Condamnation à perpétuité pour l’auteur syrien de l’attaque au couteau à Solingen

    Un acte terroriste revendiqué par l’État islamique

    L’auteur syrien de l’attaque au couteau perpétrée à Solingen, qui a fait huit blessés lors d’une fête populaire, a été condamné à la réclusion à perpétuité. Le tribunal a déterminé que l’agression était motivée par une idéologie islamiste, revendiquée par le groupe djihadiste État islamique (EI).

    Une déclaration d’implication du condamné

    Selon le président du tribunal, le jeune homme de 27 ans originaire de la région de Deir Ezzor, dans l’est de la Syrie, aurait approuvé les objectifs de l’EI et agi en raison de convictions islamistes radicales. Les juges ont indiqué qu’il aurait répondu à l’appel des dirigeants de l’organisation pour commettre des actes terroristes en Europe de l’Ouest, dans le cadre d’une démarche visant à soutenir leurs initiatives violentes.

    Un procès marqué par des aveux et une reconnaissance de gravité

    Les aveux du suspect

    Lors de l’audience d’ouverture, fin mai, le prévenu avait reconnu avoir commis un « crime grave » en confessant : « J’ai tué et blessé des innocents, pas des infidèles ».

    Une peine sévère malgré la simple confession

    Le tribunal a confirmé la peine de détention à vie, en tenant compte de la gravité particulière de ses actes. La décision retient aussi que la culpabilité du condamné présente un caractère exceptionnel, rendant peu envisageable toute libération anticipée. Le parquet fédéral, chargé des affaires de terrorisme, avait requis cette mise en peine majeure.

    Contexte et répercussions en Allemagne

    Cet attentat a profondément marqué l’opinion publique allemande. Il a également accru la pression sur le gouvernement, qui, sous l’impulsion de l’extrême droite et des conservateurs, a renforcé la législation concernant le port d’armes blanches et a rétabli des contrôles aux frontières afin de lutter contre l’immigration illégale. La tragédie à Solingen a ainsi relancé le débat public sur ces questions sensibles en Allemagne.

  • Incident sur les quais de Villeneuve : deux jeunes blessés lors d’une rixe armée

    Incident sur les quais de Villeneuve : deux jeunes blessés lors d’une rixe armée

    Une altercation violente sur les quais de Villeneuve

    Un incident s’est produit sur les quais de Villeneuve, impliquant une confrontation entre plusieurs individus. Selon la police cantonale, cette altercation s’est déroulée mardi vers 16h45, et a conduit à la fuite de certains participants impliqués.

    Deux victimes blessées, dont une par balle

    Lors de l’incident, deux jeunes hommes ont été blessés. Un Français de 24 ans a été atteint par balle, tandis qu’un Suisse de 23 ans a également été blessé, sans précision sur la nature de ses blessures. Après avoir trouvé refuge dans un commerce du secteur, ils ont été rapidement pris en charge par les secours et transférés à l’hôpital. Leur pronostic vital n’est pas engagé, mais ils ont nécessité une intervention urgente.

    Enquête en cours

    Le Ministère public a ouvert une procédure judiciaire pour éclaircir les circonstances du drame. La police de sûreté vaudoise a été désignée pour mener les investigations afin d’identifier les responsables de cette rixe violente.

  • Sylvie Courvoisier : Le Grand Prix suisse de musique, un moteur pour soutenir d’autres artistes

    Une distinction prestigieuse pour une carrière engagée

    À l’occasion de la remise du Grand Prix suisse de musique 2025, Sylvie Courvoisier, pianiste et compositrice basée à New York depuis près de trente ans, soulignant l’importance de cette reconnaissance dans sa trajectoire artistique, affirme que cette distinction lui offre une plateforme pour aider d’autres musiciens. La récipiendaire de ce prix, dotée de 100 000 francs, estime que cette récompense lui permet de conserver une totale liberté dans ses choix artistiques, notamment en ce qui concerne ses projets discographiques, en lui laissant la possibilité de refuser des concessions à des labels ou de financer ses propres productions.

    Une artiste au service de la générosité et de l’entraide

    Dans le cadre de l’émission La vie à peu près, diffusée cette semaine, Sylvie Courvoisier partage sa philosophie philanthropique et sa vision de transmission. Elle confie que la générosité occupe une place centrale dans sa vie, étant convaincue que la pratique du partage enrichit autant qu’elle récompense. Née à Lausanne, la musicienne, qui ne dispose pas d’enfants, indique qu’elle souhaite profiter de ses ressources pour soutenir ceux qui en ont besoin, en insistant sur l’importance d’aider, ne serait-ce que pour améliorer le quotidien d’une personne, comme lui permettre de mieux manger lors d’une soirée.

    Une vision musicale traversant plusieurs répertoires

    La créatrice explore une diversité de styles musicaux, allant du côté classique aux festivals de jazz et clubs spécialisés, en mêlant compositions et improvisations dans un univers qui lui est propre. Sa clarté artistique a favori des rencontres avec des figures comme John Zorn, dont elle partage l’esprit de recherche et d’innovation. Selon lui, elle serait était él’une des pianistes les plus créatives de la scène new-yorkaise.

    Une dynamique débordante d’énergie et de passion

    Que ce soit au sein du jazz, de la musique contemporaine, ou encore dans la danse et le flamenco, Sylvie Courvoisier investit tout son énergie pour partager et enrichir son langage musical. Sa discographie, riche et variée, illustrant ses collaborations avec les labels Tzadik, Pyroclastic, Relative Pitch, Intakt ou ECM, témoigne de cet engagement. Elle confie que sa passion pour la musique reste intacte, et que son appétit de jeu ne faiblit pas, indiquant : “Ce qui me sauve, c’est que je ne suis absolument pas lassée.”

    Les influences et les débuts artistiques

    Adolescente, elle aspirait à devenir chef d’orchestre, mais ses parents considéraient que cette carrière n’était pas envisageable. Après des études au collège des Bergières et au gymnase du Bugnon à Lausanne, elle s’est tournée vers le piano. Son éveil musical séduit par l’exploration solitaire de l’instrument familial, notamment lors de ses études au piano à queue de son père, a été pour elle un moment de création et de découverte sonore. Elle se remémore : “C’était mon moment magique, j’explorais tout ce que je pouvais.”

    Une carrière orientée vers l’improvisation, la composition et la performance

    Par la suite, elle poursuit ses formations au Conservatoire de Montreux puis à celui de Lausanne. Lorsqu’elle décide de se consacrer à la composition, elle met en avant sa capacité à produire des œuvres complexes et structurées, tout en dirigant de nombreux projets jazz et en séjournant en tant que soliste. Elle explique : “Je n’avais pas de facilité pianistique, mais j’étais à l’aise avec la composition.” Elle souligne aussi que la pratique du piano reste une source de force et de réconfort, en la comparant à une énergie qui lui permet de continuer, même dans les moments délicats.

    Une reconnaissance symbolique lors d’une date significative

    Le choix de la date de la remise du prix, le 11 septembre, a intrigué. Sylvie Courvoisier explique que cette date évoque une impressionnante connotation en Amérique, notamment la catégorie “Nine Eleven”. Elle espère que cette distinction lui permettra également d’associer cette date à un souvenir positif, en contraste avec la catastrophe de 2001. La musicienne se remémore l’enfance qu’elle a passée à New York ou elle a vécu cet événement marquant, en soulignant : “Je me suis rendue compte que j’aimais cette ville et cette entraide qui y régnait.”

    Ses prochains concerts incluront notamment une performance à Lausanne, à l’église Saint-François le 4 octobre 2025, ainsi qu’une tournée en octobre, avec des passages au The Bird’s Eye Jazz Club à Bâle, au BeJazz Club de Liebefeld, et en collaboration avec Patricia Brennan.

    Son nouvel album, intitulé “Angel Falls” (Intakt Records), en duo avec Wadada Leo Smith, sortira le 3 octobre 2025, marquant une nouvelle étape dans sa carrière musicale.

  • Giulio Pellizzari décroche sa première victoire chez les professionnels lors de la 17e étape de la Vuelta

    Giulio Pellizzari décroche sa première victoire chez les professionnels lors de la 17e étape de la Vuelta

    Une première victoire marquante pour le jeune grimpeur italien Giulio Pellizzari

    Le mercredi, lors de la 17e étape de la Vuelta, Giulio Pellizzari a réalisé une performance significative en s’imposant au sommet de l’Alto de El Morredero. Ce succès constitue la première victoire professionnelle du jeune cycliste italien, qui a profité de la brouille persistante parmi les favoris pour se distinguer en montagne.

    Contexte sécuritaire et contexte sportif lors de l’étape

    La journée s’est déroulée sans incident notable en lien avec les manifestations pro-palestiniennes qui avaient affecté les jours précédents. Lors d’un vote effectué au départ, les coureurs avaient décidé de neutraliser la course si de nouvelles perturbations venaient à apparaître. La majorité des militants pro-palestiniens s’étaient rassemblés pacifiquement à Ponferrada, à proximité de la dernière ascension, permettant au peloton de franchir cette étape sans entrave avant de revenir à la lutte en montagne.

    Une ascension redoutable au cœur de conditions extrêmes

    L’ascension de l’Alto de El Morredero (8,8 km à 9,7 % de moyenne) a été rendue encore plus intimidante par la dernière partie ravagée par les incendies estivaux. Lors de l’approche de la montée, les cloches du monastère ont sonné pour accompagner le passage des coureurs, alors que six favoris avaient réussi à s’isoler, notamment sous l’impulsion de Jai Hindley, leader de l’équipe Red Bull Bora. Ce dernier, soutenu stratégiquement par Pellizzari, a lancé une accélération décisive à environ six kilomètres de l’arrivée, dans la portion la plus difficile.

    Une course à tactique et à élévation dramatique

    Seuls quelques autres leaders, tels que Jonas Vingegaard, João Almeida et Matthew Riccitello, ont pu suivre cette accélération, rythmée par un vent fort. Avant le contre-la-montre de jeudi à Valladolid, qui pourrait influencer les classements, Vingegaard, porteur du maillot rouge, a choisi de se préserver et a terminé quatrième de l’étape, grappillant seulement deux secondes sur Almeida, son rival direct au classement général.

    Une forme physique incertaine parmi les favoris

    Vingegaard, visiblement moins en forme qu’espéré, a expliqué ne pas avoir été en mesure d’attaquer comme il l’aurait voulu, tout en conservant le maillot rouge. Son directeur sportif, Grischa Niermann, a confirmé que le Danois n’était pas au sommet de sa forme, probablement affecté par la fatigue du Tour de France, terminé en deuxième position fin juillet. Sousa même, Almeida a reconnu ne pas être dans une grande forme, précipitant ainsi l’opportunité pour Pellizzari de s’illustrer.

    Une victoire individuelle héroïque et une progression notable

    En tension constante avec Hindley, Pellizzari a su en garder sous la pédale pour attaquer à 3,5 km du sommet, obtenant ainsi une victoire en solitaire. À 21 ans, ce jeune cycliste de San Severino, déjà 6e du Giro en mai, a confirmé sa montée en puissance en consolidant sa place parmi les leaders du général et son maillot blanc de meilleur jeune. Il a devancé de 16 secondes Tom Pidcock, de l’équipe Q36.5, qui a défendu sa position sur le podium, ainsi que Hindley, quatrième au classement général, de 18 secondes.

    Une victoire qui a du sens pour l’avenir du cyclisme

    Selon Pellizzari, sa stratégie s’est articulée autour d’un effort intense dans la vallée, visant à déstabiliser Pidcock. Lors des derniers kilomètres, il a décidé de faire la différence et a exprimé sa fierté d’avoir accompli ce jour mémorable, qu’il qualifie comme le plus beau de sa carrière.

  • Le Lausanne-Sport dénonce la décision disciplinaire de la Ligue suite à la suspension de Gaoussou Diakité

    Le Lausanne-Sport dénonce la décision disciplinaire de la Ligue suite à la suspension de Gaoussou Diakité

    Le Lausanne-Sport conteste la prolongation de la suspension de son joueur

    Le club vaudois exprime sa déception suite à la décision de la commission de discipline, qui a porté la suspension de Gaoussou Diakité de trois à quatre matchs. Selon le Lausanne-Sport, cette décision constitue une évolution sans précédent dans la gestion disciplinaire.

    Retour sur l’incident lors du match contre Saint-Gall

    Le 31 août dernier, le défenseur malien a été exclu pour un coup porté à un adversaire. La commission de discipline de la Swiss Football League (SFL) avait initialement jugé le geste comme une «brutalité légère» et avait sanctionné le joueur de trois rencontres. Le club a alors exercé son droit d’opposition dans le but de réduire la sanction.

    Requalification du geste par le juge disciplinaire

    Le juge unique en charge de l’affaire a par la suite requalifié le comportement de Diakité en une «brutalité normale» et a décidé d’ajouter une rencontre à la suspension initiale. Le Lausanne-Sport, tout en affirmant «prendre acte» de cette décision, critique fermement cette requalification.

    Contestation du club concernant la décision

    Le club souligne notamment que l’interprétation du juge selon laquelle il n’y aurait pas eu de provocation préalable est contestable, en se référant aux images vidéo de l’incident. Par ailleurs, il évoque que son joueur aurait été victime de provocations régulières de la part d’un adversaire, ce qui ne semble pas avoir été pris en compte dans la décision disciplinaire.

    Réaction sur la gestion de l’incident

    Le Lausanne-Sport exprime également son mécontentement quant à la manière dont l’arbitre Désirée Grundbacher et ses assistants ont géré la situation, estimant que leur intervention aurait pu contribuer à faire dégénérer certains moments du match.

    Ce différend illustre les tensions persistantes entre le club et la Ligue, suite à une décision qui suscite des interrogations quant à la légitimité et à l’application des règles disciplinaires dans le contexte du football professionnel en Suisse.

  • Le mari de Kristin Cabot clarifie la situation suite à la polémique du week-end

    Une déclaration officielle pour mettre fin aux spéculations

    La controverse entourant Kristin Cabot a fait grand bruit durant le week-end. La mannequin a été vue dans les bras de son supérieur lors d’un concert de Coldplay cet été à Boston, ce qui a déclenché une tempête médiatique. Moins d’un mois plus tard, Kristin Cabot a annoncé son intention de divorcer.

    Suite à cette agitation, Julia, première épouse d’Andrew Cabot, a déclaré au « New York Post » que l’entrepreneur n’aurait pas semblé particulièrement affecté par cette affaire d’infidélité présumée. Selon Julia, « la seule chose qui l’intéresse, c’est l’argent. (…) Il pourrait simplement être embarrassé », a-t-elle précisé.

    Les précisions d’Andrew Cabot

    Par l’intermédiaire de sa porte-parole, Andrew Cabot a souhaité préciser la situation : « Lui et Kristin s’étaient séparés à l’amiable plusieurs semaines avant le concert de Coldplay. » La représentante de l’homme d’affaires a expliqué à « People » que « leur décision de divorcer était déjà prise avant cet événement. » Elle souhaite désormais que cette communication mette un terme aux rumeurs et permette à la famille d’Andrew Cabot de retrouver leur intimité, précisant que « Andrew espère que cela contribuera à apaiser la situation. »

    Profil et contexte de l’intermédiaire

    Agé de 61 ans, Andrew Cabot occupe la fonction de PDG chez Privateer Rum, une distillerie de rhum indépendante située à Ipswich, dans le Massachusetts. Il a deux enfants issus d’un précédent mariage. Kristin Cabot, quant à elle, aurait quitté Astronomer après le scandale, tout comme le PDG Andy Bryon, qui est également marié et père de famille. Depuis cet épisode, les parties impliquées ont choisi de ne pas communiquer davantage sur l’état actuel de leur relation.