Category: Monde

  • Dix personnes interpellées après l’attaque armée contre l’horlogerie Werthanor au Locle en février

    Dix personnes interpellées après l’attaque armée contre l’horlogerie Werthanor au Locle en février

    Contexte et arrestations liées à l’attaque

    Le Ministère public neuchâtelois et la police neuchâteloise ont indiqué, vendredi, que des personnes déjà incarcérées pour d’autres faits avaient été retirées de leur cellule pour être entendues.

    Les principaux suspects, tous de nationalité française et originaires de la région parisienne, du Nord ou de Besançon, se trouvent aujourd’hui dans différents établissements pénitentiaires en France.

    Détails de l’attaque et du butin

    Le 13 février, vers 07h20, quatre individus ont pénétré par effraction dans l’entreprise Werthanor, à Le Locle. Sous la menace d’armes longues, ils ont contraint les salariés à remettre des métaux précieux avant de prendre la fuite à bord d’un véhicule.

    Lors de l’assaut, un employé a été violemment frappé et blessé. Le butin, constitué de métaux précieux, était estimé à 613 000 francs et n’a, à ce jour, pas été retrouvé.

    Enquête et coordination judiciaire

    L’enquête, d’envergure entre Suisses et Français, est conduite sous la direction conjointe du Ministère public neuchâtelois et de la Juridiction Interrégionale Spécialisée (JIRS) de Nancy, qui avait été saisie du côté français.

  • Köniz (BE) : Agression d’une adolescente dans un parc près d’un établissement scolaire — enquête en cours

    Köniz (BE) : Agression d’une adolescente dans un parc près d’un établissement scolaire — enquête en cours

    Köniz (BE) — Agression d’une adolescente dans un parc près d’un établissement scolaire, enquête en cours

    Faits et éléments préliminaires

    Vendredi, vers 12h30, une adolescente a été prise à partie par un jeune homme dans un parc situé derrière un bâtiment scolaire à Köniz, dans le canton de Berne.

    Selon les premiers éléments de l’enquête, l’auteur présumé serait une personne connue de la victime.

    Un promeneur de chien qui se trouvait à proximité est intervenu après avoir constaté la scène. Grâce à son action, l’individu a cessé son comportement et a quitté les lieux.

    Recherche et mesures policières

    Plus tard dans l’après-midi, la police cantonale bernoise a localisé le jeune homme et l’a conduit au poste pour obtenir des clarifications supplémentaires dans le cadre de l’enquête.

    La police, sous la direction du Ministère public régional, a ouvert une procédure et souhaite entendre des témoins, en particulier la personne qui promenait le chien.

  • Hongrie et sanctions sur le pétrole russe : une exemption obtenue lors de la rencontre Trump-Orban

    Hongrie et sanctions sur le pétrole russe : une exemption obtenue lors de la rencontre Trump-Orban

    Contexte et détails de l’accord

    Lors d’un entretien entre le président américain Donald Trump et le Premier ministre hongrois Viktor Orban, les États-Unis ont accordé à la Hongrie une exemption des sanctions pesant sur le pétrole et le gaz russes. Le ministère hongrois des Affaires étrangères, Peter Szijjártó, a relayé sur X l’annonce et précisé que, selon lui, l’exemption est présentée comme illimitée.

    Selon un responsable de la Maison Blanche, qui a souhaité rester anonyme, la dérogation serait valable pour une période d’un an. Budapest s’est engagé à acheter environ 600 millions de dollars de gaz naturel liquéfié américain, dans le cadre de l’accord.

    Avant la rencontre, le président américain avait expliqué qu’Orban pouvait rencontrer des difficultés pour se procurer du pétrole et du gaz ailleurs, soulignant que la Hongrie n’a pas d’accès à la mer.

    Réactions et contexte géopolitique

    Orban a indiqué qu’il exposerait à Trump les conséquences potentielles pour la Hongrie si elle ne pouvait plus disposer de gaz et de pétrole russes, lors de leur entretien bilatéral.

    Le mois dernier, les États‑Unis ont imposé des sanctions à Rosneft et Lukoil, deux des plus grands producteurs pétroliers russes, en réponse à la poursuite du conflit en Ukraine. Ils ont aussi exhorté les pays européens, dont la Hongrie, à réduire leur dépendance à l’énergie russe.

    Impact politique et échanges sur l’énergie

    Ces mesures interviennent à quelques mois des élections législatives en Hongrie, où Viktor Orban est au pouvoir depuis 2010 et voit son avenir politique incertain selon les sondages.

    Trump a exprimé son soutien à Orban, affirmant qu’il le soutenait et qu’il avait fait un travail fantastique. L’Union européenne a aussi été invitée à respecter la Hongrie et son Premier ministre, dans le cadre des critiques liées aux sanctions financières sur les politiques migratoires.

    Orban a en outre évoqué le souhait d’un « âge d’or » dans les relations entre les États‑Unis et la Hongrie, réutilisant une expression associée à l’ancien président américain.

  • Blocage provisoire des versements d’aides SNAP par la Cour suprême des États-Unis dans le cadre de l’impasse budgétaire – 20 minutes

    Blocage provisoire des versements d’aides SNAP par la Cour suprême des États-Unis dans le cadre de l’impasse budgétaire – 20 minutes

    Contexte et décision de la Cour

    La Cour suprême des États-Unis a estimé vendredi que l’administration Trump n’était pas tenue de verser immédiatement les allocations du programme d’aide alimentaire SNAP, suspendues en raison de la paralysie budgétaire. Cette décision, temporaire, laisse des millions d’Américains dans l’incertitude quant à la continuité des paiements.

    Cadre et portée de la décision

    Un tribunal avait ordonné cette semaine au gouvernement de financer intégralement le SNAP pour le mois de novembre et, d’ici vendredi soir, d’utiliser des fonds de réserve afin de verser plusieurs milliards de dollars aux États pour leur distribution de bons alimentaires à environ 42 millions de personnes, dont des millions d’enfants.

    Cependant, la juge de la Cour suprême Ketanji Brown Jackson a émis une décision administrative qui suspend la procédure et accorde un délai supplémentaire pour examiner la demande de l’administration. Les agences gouvernementales américaines restent à l’arrêt depuis que Républicains et Démocrates du Congrès n’ont pas réussi à s’entendre sur un nouveau budget après le 30 septembre, avec des répercussions sur les programmes d’aide sociale.

    Réactions et contexte

    La décision, prise par une Cour majoritairement conservatrice, intervient alors que le gouvernement fédéral s’efforçait de verser les paiements nécessaires aux États. Des responsables démocrates ont exprimé leur frustration face à cet arrêt et à la suspension du financement du SNAP par l’administration. Letitia James, procureure générale de l’État de New York, a déclaré sur X que la situation était « honteuse » et s’est opposée à cette approche à plusieurs reprises.

  • Sweet Julie (Julie Demierre) : parcours indépendant après Star Academy et EP prévu en 2026-2027

    Sweet Julie (Julie Demierre) : parcours indépendant après Star Academy et EP prévu en 2026-2027

    Sweet Julie, une étape nouvelle après Star Academy

    Le 12 octobre 2024, lors du premier prime de la saison 12 de la Star Academy, Julie Demierre, connue sous le nom de Sweet Julie, a été présentée au public. Éliminée après sept semaines passées au château, la chanteuse originaire du canton de Vaud poursuit aujourd’hui sa trajectoire musicale. Près d’un an après cette aventure sur TF1, elle revient sur son parcours et ses choix.

    Choisir l’indépendance : avantages et contraintes

    Elle explique s’être lancée en indépendant parce qu’aucun contact n’avait été noué avec des labels. Cette voie présente des atouts, notamment la possibilité de définir son identité artistique et d’aborder les projets avec une vision claire avant toute signature. Selon elle, cela permet d’arriver sur le marché avec un projet déjà structuré et de limiter le poids des cadres externes.

    Mais ce choix comporte aussi des défis, notamment financiers. « La musique coûte cher », affirme-t-elle, et obtenir une diffusion radio en France nécessite un attaché de presse. Le coût peut être élevé : « les meilleurs à titre individuel peuvent avoisiner 10 000 euros », précise-t-elle.

    Des débuts prometteurs et une gestion plurielle

    Par ailleurs, Julie assure prendre en charge les aspects administratifs de sa carrière, assumant ainsi plusieurs casquettes d’artiste. À ce stade, elle a sorti deux singles, Est-ce que tu m’attends? et Selflove, qui ont été bien accueillis par sa communauté de fans et dont elle se dit fière.

    Projets et orientation artistique pour l’avenir

    Elle affirme travailler à préciser son univers et ses compositions afin que son travail parle aussi à ses collaborations et au public. Son objectif est de publier des morceaux qui correspondent pleinement à son image, dans la continuité de ses deux premiers titres.

    En parallèle, la Suissesse prépare des premières parties et des participations à des festivals, et travaille sur un EP prévu pour 2026 ou 2027.

  • Un garde suisse sous enquête pour des insultes antisémites présumées lors d’une audience papale

    Un garde suisse sous enquête pour des insultes antisémites présumées lors d’une audience papale

    Contexte et enquête en cours

    Le caporal Eliah Cinotti, porte-parole de la Garde suisse pontificale, a confirmé à l’agence Ansa qu’un épisode litigieux avait été signalé et qu’une enquête interne avait été ouverte, dont le contenu demeure confidentiel. Il a évoqué une procédure normale visant à assurer le plus grand professionnalisme du service, et a précisé que l’affaire avait été révélée par le quotidien italien La Repubblica.

    Des faits rapportés lors d’une audience au Vatican

    Selon les informations recueillies, lors de l’audience générale du pape, le mercredi 29 octobre, deux femmes juives présentes sur la place Saint-Pierre auraient été insultées par un garde suisse en service. Cette séance était consacrée au 60e anniversaire de Nostra aetate, la déclaration du concile Vatican II sur les relations de l’Église avec les religions non chrétiennes, promulguée le 28 octobre 1965 par le pape Paul VI. Le lieu était fréquenté par des représentants d’autres confessions, avec une forte présence juive, selon Ansa.

    Témoignages et éléments relatifs à l’enquête

    Michal Govrin, écrivaine et metteuse en scène israélienne, a raconté à La Repubblica que, alors que deux femmes qui ne sont généralement pas reconnues comme juives passaient par une entrée latérale de la place Saint-Pierre dans le cadre d’une délégation internationale de juifs, un membre de la Garde suisse pontificale les aurait traitées de « juifs » avec mépris, puis aurait simulé un geste de crachat.

    Govrin précise qu’à la suite d’une demande d’explications, l’officier aurait nié et fait un geste obscène.

    Si l’enquête interne confirme l’épisode — une demande de photos est en cours — des mesures pourraient être envisagées par les autorités, selon Ansa.

    Contexte historique et déclarations du Vatican

    Lors de la même audience, le pape a affirmé que l’Église ne tolère pas l’antisémitisme et que la lutte contre ce fléau est enracinée dans l’Évangile, une déclaration qui a été largement applaudie par l’assemblée.

  • Des milliers de déplacés fuient les combats au Darfour et dans le Kordofan-Nord

    Des milliers de déplacés fuient les combats au Darfour et dans le Kordofan-Nord

    Des milliers de déplacés face aux combats au Darfour et dans le Kordofan-Nord

    Dans un communiqué publié dimanche soir, l’OIM a indiqué que 36 825 personnes avaient fui cinq localités du Kordofan-Nord, un État situé à quelques centaines de kilomètres à l’est du Darfour, région où les Forces de soutien rapide (FSR) auraient pris le dernier bastion majeur encore contrôlé par l’armée.

    Ces dernières semaines, la région du Kordofan-Nord est devenue un nouveau front entre l’armée et les FSR, qui combattent depuis avril 2023.

    Avancée des FSR et situation à Bara

    Des habitants ont indiqué que des villes entières sont devenues des cibles militaires, alors que les forces opposées s’affrontent pour El-Obeid, capitale du Kordofan-Nord et important centre logistique et de commandement reliant le Darfour à Khartoum, qui abrite aussi un aéroport.

    Selon une vidéo diffusée dimanche soir par les paramilitaires, une porte-parole des FSR a déclaré que toutes les forces se concentraient sur le front de Bara, localité située au nord d’El-Obeid. Les FSR avaient revendiqué la prise de Bara la semaine précédente.

    Alerte de l’ONU et contexte des crimes potentiels

    Souleiman Babiker, habitant d’Oum Smeima, à l’ouest d’El-Obeid, a déclaré qu’après la prise d’El-Facher par les paramilitaires, le nombre de véhicules des FSR avait augmenté.

    La secrétaire générale adjointe de l’ONU pour l’Afrique, Martha Pobee, avait averti la semaine dernière sur de vastes atrocités et des représailles motivées sur le plan ethnique attribuées aux FSR à Bara, évoquant des schémas similaires à ceux observés au Darfour, où les combattants paramilitaires sont accusés de massacres, de violences sexuelles et d’enlèvements visant des communautés non arabes après la chute d’El-Facher.

    Réactions judiciaires et contexte humanitaire

    Le bureau du procureur de la CPI a averti lundi que les actes décrits dans cette ville pourraient constituer des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité.

    Selon l’ONU, le conflit au Soudan a fait des dizaines de milliers de morts, déplacé près de 12 millions de personnes et provoqué la pire crise humanitaire mondiale.

  • Des prisonniers nord-coréens en Ukraine envisagent la défection, selon des services de renseignement

    Des prisonniers nord-coréens en Ukraine envisagent la défection, selon des services de renseignement

    Contexte et déplacement des prisonniers nord-coréens

    Selon des services de renseignement sud-coréens et de plusieurs États occidentaux, des prisonniers nord-coréens retenus en Ukraine auraient été transférés en Russie en 2024, principalement dans la région de Kursk, où ils seraient employés pour soutenir l’effort militaire russe dans le conflit en Ukraine.

    En janvier, Séoul avait signalé la capture de deux d’entre eux. L’un d’eux aurait exprimé le souhait d’une vie normale au Sud, selon un député sud-coréen qui a rendu visite aux deux en février. Cette même demande aurait été réitérée lors d’un entretien pour un documentaire, suivi peu après par le second détenu.

    Selon Jang Se-yul, directeur de l’organisation d’aide aux transfuges Gyeore-eol Nation United, les deux prisonniers auraient demandé au producteur du documentaire de les ramener au Sud à l’issue de l’entretien. L’échange s’est déroulé le 28 octobre à Kiev, dans un lieu dont l’emplacement n’est pas divulgué et où les deux hommes restent détenus.

    Quand la Constitution sud-coréenne s’invite en Ukraine

    Selon Jang Se-yul, les détenus auraient supplié l’intervieweuse de promettre de revenir les chercher au Sud. La vidéo de cet entretien n’est pas encore publiée mais sa diffusion est annoncée pour les semaines à venir. Des photographies fournies par l’organisation montrent l’un des prisonniers en train de lire des lettres de compatriotes vivant au Sud.

    La Constitution de la Republique de Corée rappelle que tous les Coréens, y compris les Nord-Coréens, restent des citoyens à part entière. Séoul précise que ce principe s’applique aussi aux prisonniers de guerre en Ukraine.

    Ordre de se suicider

    D’après le renseignement sud-coréen, les autorités nord-coréennes auraient donné l’ordre à ces militaires de se suicider afin d’éviter leur capture. Le retour en Corée du Nord serait alors perçu comme une condamnation à mort, selon Yu Yong-weon, le député qui a rencontré les deux prisonniers.

    Pyongyang n’a reconnu qu’une participation militaire en Russie en avril et a admis que certains soldats seraient morts. Le renseignement sud-coréen avance un chiffre d’environ 2000 militaires tués.

  • Trois morts dans une nouvelle frappe aérienne américaine ciblant un navire soupçonné de trafic de drogue

    Trois morts dans une nouvelle frappe aérienne américaine ciblant un navire soupçonné de trafic de drogue

    Contexte et bilan des frappes dans les Caraïbes et le Pacifique

    Selon le secrétaire américain à la défense Pete Hegseth, cette frappe porte le bilan à au moins 65 morts parmi les personnes visées, dans le cadre des frappes aériennes ordonnées par le président Donald Trump pour lutter contre l afflux de drogue vers les États‑Unis.

    Le navire touché était, selon les services de renseignement, impliqué dans le trafic illicite de stupéfiants et circulait sur une route réputée pour ce trafic, a‑t‑il déclaré sur X.

    Trois hommes présents à bord, décrits comme des narcoterroristes, ont été tués lors de l opération menée en eaux internationales; aucun membre des forces américaines n a été blessé, selon ses propos.

    EXÉCUTIONS EXTRAJUDICIAIRES

    Washington affirme qu il poursuivra et éliminera les trafiquants de drogue, les traitant comme des menaces majeures, et compare leur destin à celui d organisations jugées similaires à Al-Qaïda.

    Depuis le début du mois de septembre, les États‑Unis mènent des frappes aériennes dans le Pacifique et surtout dans les Caraïbes contre des bateaux qu ils présentent comme affiliés à des réseaux de trafic. Avant la frappe de samedi, 15 attaques avaient été revendiquées ces dernières semaines, faisant selon Washington 62 morts, sans démonstration concluante de liens avec le trafic.

    Des experts ont remis en question la légalité de ces frappes en eaux étrangères ou internationales lorsqu elles ciblent des suspects n ayant pas été interceptés ou interrogés.

    Le Haut‑Commissaire des Nations Unies aux droits de l homme, Volker Türk, a appelé vendredi les États‑Unis à mettre fin à ces opérations et à ouvrir des enquêtes rapides, indépendantes et transparentes.

    Justification officielle et déploiements militaires

    Le président Donald Trump défend ce déploiement au nom du combat armé contre des gangs classés comme terroristes. Il accuse notamment le président vénézuélien Nicolás Maduro d’appartenir à un cartel, accusation démentie par Caracas qui la dénonce comme une tentative de déstabilisation.

    Pour soutenir l intervention, huit navires de guerre et des avions de chasse F-35 ont été déployés dans les Caraïbes, et un porte‑avions américain, le plus puissant au monde, est en route vers la zone, avec Porto Rico comme base opérationnelle.

  • L’armée israélienne affirme que trois corps remis vendredi de Gaza ne correspondent pas à des otages

    L’armée israélienne affirme que trois corps remis vendredi de Gaza ne correspondent pas à des otages

    Contexte sur la restitution des dépouilles et vérifications

    Selon une source militaire, lors de la remise des dépouilles vendredi soir, il n’était pas sûr qu’il s’agissait de corps d’otages.

    Évolution des restitutions dans le cadre de l accord

    Le mouvement islamiste palestinien a jusqu’à présent restitué les dépouilles de 17 des 28 otages décédés qu’il avait accepté de remettre dans le cadre d’un accord de cessez‑le‑feu négocié par les États‑Unis avec Israël.

    Parmi les 17 dépouilles restituées figurent celles de 15 Israéliens, d’un Thaïlandais et d’un Népalais.

    Retards dans la remise des dépouilles et cadre du cessez‑le‑feu

    Conformément aux termes de l accord de cessez‑le‑feu négocié sous l égide des États‑Unis, pour chaque Israélien rendu, Israël a remis 15 dépouilles de Palestiniens décédés pendant la guerre, soit un total de 225 dépouilles.

    Après le début du cessez‑le‑feu, le Hamas a libéré les 20 derniers otages survivants qu’il détenait encore et a entamé le processus de restitution des corps des otages décédés.

    Réactions et éléments restants

    Les retards répétés dans la remise des corps des otages ont provoqué la colère du gouvernement israélien, qui a accusé le Hamas de violer l accord de trêve. Les familles des otages ont également demandé des mesures plus strictes pour contraindre le groupe à respecter l accord.

    Dix dépouilles d otages du 7 octobre resteraient encore à Gaza, ainsi que celle d’un soldat mort durant la guerre de 2014. Toutes les victimes sont des Israéliens, à l’exception d’un Tanzanien et d’un Thaïlandais.

    Sources: agences